Franck Montaugé

Sénateur du Gers

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Archives pour avril 2017

Pôles nationaux de référence: le décret d’application est signé

Publié le 25 avril 2017

Franck Montaugé, lors de l’exposition “Plumes, visions de l’Amérique précolombienne” du musée des Jacobins au musée du Quai Branly à Paris. ©franckmontauge.fr

Le Premier ministre Bernard Cazeneuve et la ministre de la Culture et de la Communication Audrey Azoulay ont signé, le 31 mars dernier, le décret d’application fixant les modalités d’attribution des labels “Pôle national de référence” et “Pôle national de référence numérique”. Ce décret est l’acte de naissance officiel d’un dispositif introduit dans la loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de création, à l’architecture et au patrimoine par un amendement du sénateur Franck Montaugé.

Au mois de février 2016, le Sénat avait adopté cet amendement (lire et voir la vidéo ici) visant à mettre en valeur les innombrables collections publiques dispersées dans les musées de France de telle sorte qu’elles sont peu ou mal visibles. Le décret d’application précise ainsi que “le label est attribué dans le but de rassembler, conserver et valoriser des collections non-présentées au public à une personne morale bénéficiant de l’appellation Musée de France qui en fait la demande”.  La condition principale à remplir pour obtenir le label est de présenter un projet scientifique et culturel spécifique.

Cité en exemple par le sénateur Montaugé lors de la présentation de son amendement, le musée des Jacobins d’Auch est candidat à l’obtention de ce label sur le thème des arts précolombiens. Deuxième collection de France d’objets d’art précolombien après le musée du Quai Branly à Paris, le musée des Jacobins possède quelque dix mille objets dont de nombreuses pièces remarquables et uniques au Monde. 20500 autres objets dispersés dans 171 musées de France ont été inventoriées par le spécialiste Pascal Mongne. Une répartition qui comprend une forte proportion d’ensembles de moins de cinquante pièces.

L’attribution d’un label “Pôle national de référence pour les arts précolombiens” ferait dès lors du musée des Jacobins d’Auch, l’animateur naturel de ces collections dispersées. “Dans le même esprit, avait expliqué Franck Montaugé, d’autres pôles nationaux de référence pourraient être envisagés, par exemple pour les arts océaniens à Rochefort, les arts africains à Bordeaux, les arts asiatiques à Nice, ou les arts d’Amérique du Nord à Boulogne-sur-Mer. »

“Je suis très heureux que ce label soit ainsi mis en oeuvre car au-delà de sa dimension culturelle, il permet de répondre aussi à des enjeux d’aménagement du territoire essentiels, explique le sénateur du Gers. Il y a en France, de nombreux musées que je qualifierais de territoriaux et dont les collections méritent d’être mises en valeur et enrichies. La caution de l’Etat, via ce label, va grandement les y aider.”

Téléchargez ici le texte du décret

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Grippe aviaire: des mesures positives pour la filière gersoise

Publié le 21 avril 2017

« La signature d’un pacte de lutte contre l’influenza aviaire et de relance de la filière palmipède à foie gras ainsi que s’y était engagé le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll est une bonne nouvelle pour toute l’agriculture et l’économie gersoise », se félicite le sénateur du Gers Franck Montaugé. La semaine dernière à Paris, les organisations professionnelles des filières volaille ainsi que les régions et départements concernés par l’épizootie d’influenza aviaire ont signé un pacte dont l’objectif est d’accroître la réactivité des filières avicoles en cas de réapparition de cette maladie.

« Ce pacte répond à des enjeux multiples, précise le ministère de l’Agriculture dans un communiqué : santé publique, bien être et santé animale, performance économique, sanitaire et environnementale des filières tout en préservant la pérennité des modes de production avec des parcours extérieurs. Il constitue un point de départ. Avec 32 signataires dont l’ensemble des organisations professionnelles agricoles, il fixe comme objectifs :

  • L’amélioration de la détection de la maladie et des réactions collectives en cas de crise,
  • La sécurisation du maillon production,
  • La sécurisation du maillon transport,
  • Le renforcement de l’application des règles de biosécurité au niveau des intervenants,
  • L’action aux niveaux européen et international
  • La mise en place d’un système d’appui économique aux conséquences de l’IAHP.

Par ailleurs, le Ministre a indiqué que le niveau du risque du territoire sera abaissé à un niveau modéré 
dès demain (vendredi 14 avril). Cela permettra d’alléger les contraintes en matière de confinement des volailles plein air. 
Par ailleurs, des dérogations peuvent être accordées par les DDPP pour permettre des rassemblements de volailles dans des conditions sécurisées.

« Je me félicite de la signature de ce pacte, préalable indispensable à la reprise de production. Il sera décliné dans un plan d’action détaillé. Il constitue un nouveau départ pour la filière et marque la prise de conscience de l’ensemble des acteurs » a indiqué Stéphane Le Foll. Le ministre s’est également engagé solennellement à ce que les obligations de confinement soient révisées avant l’été, en fonction du nombre de canards des exploitations.

Franck Montaugé se réjouit également que des mesures proposées par le département du Gers pour protéger les filières courtes, comme l’instauration d’un RSA agricole spécifique, aient été prises en compte. “La sécurisation du revenu des agriculteurs est un combat que nous devons tous mener. Il en va  de l’avenir économique de nos départements ruraux”, dit-il.

Téléchargez ici le communiqué du ministre de l’Agriculture

Consultez le dossier de suivi  de l’épizootie influenza aviaire du ministère de l’Agriculture

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Agriculture : le bon exemple de l’Association des éleveurs du Gers

Publié le 11 avril 2017

Invité à s’exprimer par le président Simon Faulong lors de l’assemblée générale des éleveurs du Gers qui s’est récemment tenue à Barran, le sénateur Franck Montaugé, membre du groupe de suivi sur la réforme de la PAC au Sénat, a invité les agriculteurs présents à s’intéresser de près à la réforme en cours de la politique agricole commune et à faire valoir leurs spécificités gersoises. Alors que la sortie de la Grande Bretagne de l’Union européenne a toutes les chances de bousculer l’agenda de la réforme, mais également d’en modifier sensiblement le contenu (la Grande Bretagne est contributeur net au budget de la PAC à hauteur de dix milliards d’euros), le sénateur du Gers complète les auditions réalisées au plan national par le groupe de suivi sur la réforme, par des auditions locales.

« Je veux pouvoir, en tant que sénateur gersois, faire valoir les spécificités gersoises dans les travaux que nous menons au Sénat », explique Franck Montaugé. Les incertitudes que font également peser sur le calendrier les prochaines élections européennes de 2019 ne doivent pas faire perdre de vue les six grandes priorités de travail et de réforme qui seront probablement retenues dans les semaines à venir au niveau européen. Ces six grandes priorités, le sénateur du Gers les a énumérées:

  1. « La première priorité, c’est la résilience, c’est-à-dire la capacité que nous avons à rebondir, à surmonter sans trop de dégâts les différentes crises auxquelles nous sommes confrontés, qu’elles soient sanitaires, environnementales ou liées aux marchés, explique Franck Montaugé. Ce que l’on constate, dit-il, c’est que de PAC en PAC, tous les mécanismes de régulation des marchés ont disparu. On fonctionne aujourd’hui sur des mécanismes ultra-libéraux de concurrence pure et dure. Vous êtes confrontés à ça en tant qu’éleveurs, mais c’est particulièrement vrai sur des productions céréalières avec des variations de prix extrêmement importantes. Donc, la question qui est posée c’est de savoir si l’on continue comme ça avec les conséquences que ça peut avoir sur l’emploi agricole et sur le devenir des territoires, ou si l’on se dote de mécanismes permettant de surmonter ou d’atténuer ces effets négatifs ? »
  2. « La deuxième priorité concerne tout ce qui touche aux défis environnementaux. On sait ce qu’il en est des conséquences du réchauffement climatique, par exemple des nécessités induites pour nous dans le Gers de pouvoir continuer à construire des retenues d’eau. La question des défis environnementaux est évidemment liée au réchauffement climatique et aux émissions de gaz à effet de serre pour laquelle les agriculteurs jouent un rôle positif qui doit à mon sens être mieux reconnu et valorisé dans la future PAC. Je pense en particulier à la biodiversité et aux mécanismes de séquestration du carbone.»
  3. « La troisième priorité, c’est le renouvellement générationnel: de quels outils se dote-t-on pour que des jeunes aient envie et puissent prendre la relève de ceux qui veulent prendre leur retraite? C’est une question majeure qui pour des départements comme le nôtre aura des conséquences sociales, économiques et territoriales . »
  4. « La quatrième priorité concerne les marchés, l’organisation des marchés, les stratégies de marché nationales et européennes internes à l’Europe et en lien avec les marchés mondiaux. Comment se dote-t-on d’un agricultures compétitives, répondant aux attentes des consommateurs, sur les différents marchés, locaux, nationaux, européens et mondiaux ? L’Union européenne exporte beaucoup en matière d’agriculture. Comment soutient-on cette exportation qui correspond aussi à une organisation d’agriculture particulière? Il n’y a pas une agriculture, il faut des agricultures. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas un marché mais des marchés. »
  5. « La cinquième priorité, c’est le renforcement de la position du producteur, de l’agriculteur, dans la chaîne de valeur ajoutée. Vous, éleveurs du Gers, avez pris l’option de vous affranchir le plus possible des intermédiaires. Ça vous permet d’éviter que la valeur ajoutée à l’origine de laquelle vous êtes ne soit captée en grande proportion par l’aval. Le sauvetage de l’abattoir d’Auch pour lequel vous avez pris, en même que vos responsabilités, une position déterminante illustre ce que peut être une stratégie public (Agglo, département, Région, Etat) – privée gagnante sur une partie de la filière qui vous concerne. Et la stratégie « qualité » que vous développez à partir de vos labels y contribue aussi mais on ne peut certainement pas tout faire en circuits courts. La question qui est donc posée à l’échelle nationale et européenne, c’est comment on organise tout au long de la filière une juste répartition de la valeur ajoutée, en particulier au bénéfice du producteur qui est à l’origine de la chaîne. Sans production, rien ne se passe, il n’y a de valeur nulle part. Raison de plus  pour que le producteur soit reconnu et correctement rémunéré . »
  6. « Le sixième point, c’est la simplification de la PAC. La norme des normes en matière agricole aujourd’hui, c’est la PAC. La PAC est une norme d’une grande complexité. Nous sommes en outre sur un secteur où il faut se mettre d’accord à 28 dans un contexte d’agricultures européennes qui sont très différentes les unes des autres. Il n’y a pas un pays dans lequel l’agriculture ressemble à celle de son voisin. Chacun a des intérêts particuliers, ses spécificités et la dernière vague d’élargissement de l’Europe avec l’entrée de pays de l’Est n’a pas facilité ces choses-là. La simplification de la PAC est inscrite explicitement à l’agenda de la réforme. Et je n’oublie pas l’enjeu normatif majeur que constitue encore pour quelques 50 communes du sud du Gers où l’élevage est présent leur maintien en zones défavorisées simples pour accéder aux indispensables ICHN ».

Concernant la simplification des normes, Franck Montaugé renvoit aux travaux du groupe de travail sur la simplification des normes constitué au sein de la commission des affaires économiques et qui a produit un rapport de cent pages sur le sujet (téléchargez ici le rapport).  « Dans ce groupe de travail on en appelle évidemment à l’arrêt de la sur-transposition des normes européennes », explique Franck Montaugé. 90% des normes qui s’appliquent à vous sont issues de l’Europe. Dans certains cas, et parfois à la demande des organismes professionnels agricoles, il y a une sur transposition de ces normes, c’est-à-dire une aggravation des contraintes liées à ces normes. On en appelle à un strict respect des normes en matière agricole. On fait aussi des propositions sur la façon dont sont élaborées les normes. On trouve que les agriculteurs ne sont pas suffisamment associés à leur transposition aux activités quotidiennes qui sont les leurs. On pense aussi qu’on ne fait pas suffisamment d’études d’impact de ces normes sur vos activités et sur les territoires sur lesquels vous travaillez. Quand on prend une décision réglementaire, en mesure-t-on toutes les conséquences économiques, sociales et environnementales ? C’est à ça que sert une étude d’impact et ce n’est pas, aujourd’hui, la méthode qui est employée pour étudier de nouvelles normes. »

Soulignant le caractère ambivalent de la norme qui peut être tout à la fois contraignante et positive, Franck Montaugé en appelle à une meilleure valorisation de ses effets auprès des consommateurs notamment. « Avec vos labels Lou Béthêt, le Veau rosé label rouge  ou La vache de mon voisin, vous faites la démonstration que la norme, quand elle est délibérée, qu’on se l’impose à soi-même, est un moyen de conquête de marchés et de développement. La norme, elle peut aussi  être vue à l’échelle d’un pays, à l’échelle d’une filière, comme un moyen, une stratégie de conquête de marchés, de dialogue avec le consommateur et finalement de renforcement d’activité », conclut le sénateur du Gers.

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Auch: de la vigne dans l’escalier monumental

Publié le 6 avril 2017

Pendant les opérations de plantation, de g. à d., Michel Baylac, vice-président de l’agglomération Grand Auch Coeur de Gascogne, Franck Montaugé, sénateur-maire d’Auch, Christophe Dormal, vigneron de Plaimont Producteurs, et Christian Laprébende, premier adjoint au maire et conseiller départemental du Gers. ©franckmontauge.fr

Franck Montaugé, sénateur-maire de la ville d’Auch, Christian Laprébende, premier adjoint, Michel Baylac, vice-président de l’agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne ont participé, ce mercredi, avec une dizaine de vignerons de Plaimont Producteurs et une équipe du service espaces verts de la ville d’Auch, à la plantation de plus de 400 pieds de vigne sur les terrasses de l’escalier monumental d’Auch.

Site classé remarquable et inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, l’escalier monumental d’Auch est l’un des monuments emblématiques de la région Occitanie. Réalisée pour le moment à titre expérimental, la plantation de cépages représentatifs de la production gersoise et du piémont pyrénéen parachève de manière spectaculaire le grand chantier de rénovation du site entrepris en 2009.

Capitale de la Gascogne, Auch met ainsi son monument le plus visité au service de la mise en valeur du patrimoine viticole de la Gascogne. Plus de 400 pieds de six cépages différents (Gros Manseng, Petit Manseng, Manseng noir, Ugni blanc et Tannat) pourront être vendangés dès 2018 et produiront à partir de 2021 une « cuvée de l’escalier ». Président de Plaimont Producteurs, Joël Boueilh a salué une initiative qui met en valeur la viticulture gersoise en tant que patrimoine économique et culturel.

La plantation de ces vignes a également pour objectif de mettre en valeur le remarquable escalier et ses 374 marches reliant la haute ville à la basse ville. Plantés en rangs serrés et ordonnancés, les pieds de vigne complètent un ambitieux programme de plantations comprenant 22 érables, des tilleuls, des arbres de Judée, des charmilles et des rosiers grimpants.

Pour le sénateur-maire Franck Montaugé, la plantation de vignes dans l’escalier monumental est également un geste symboliquement fort qui va permettre aux habitants d’Auch et du Gers de se réapproprier cette partie viticole de leur histoire, et aux touristes qui entrent en Gascogne par la porte d’Auch d’avoir un premier aperçu de cette richesse patrimoniale exceptionnelle.


Portfolio

Au-dessus de la terrasse de vignes, la tour d’Armagnac. ©franckmontauge.fr
Franck Montaugé avec les agents municipaux du service des espaces verts. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr

Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr

Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr

L’équipe des planteurs du grand complet. ©franckmontauge.fr
De g. à d.: Franck Montaugé, sénateur-maire d’Auch, Bernard Bonnet, ancien président de Plaimont Producteurs, Christian Laprébende, adjoint au maire d’Auch, Joël Boueilh, président de Plaimont Producteurs, Olivier Bourdet-Pees, directeur général de Plaimont Producteurs, Michel Baylac, vice-président de Grand Auch Coeur de Gascogne. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr

Pendant les opérations de plantation, de g. à d., Michel Baylac, vice-président de l’agglomération Grand Auch Coeur de Gascogne, Franck Montaugé, sénateur-maire d’Auch, Christophe Dormal, vigneron de Plaimont Producteurs, et Christian Laprébende, premier adjoint au maire et conseiller départemental du Gers. @franckmontauge.fr
Franck Montaugé et Gilbert Sourbadère, ancien adjoint à la culture de la ville d’Auch. ©franckmontauge.fr
Pause autour des outils de plantation. ©franckmontauge.fr

Tous les trous ont été creusés manuellement. ©franckmontauge.fr
Tous les trous ont été creusés manuellement. ©franckmontauge.fr
Pendant les opérations de plantation. ©franckmontauge.fr

Les agents municipaux des espaces verts mobilisés. ©franckmontauge.fr

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